Voici 4 stéréotypes de vision du SEO par un chef d'entreprise...

Un chef d'entreprise, si celle-ci tient la route, a de quoi être fier et peut se targuer de savoir beaucoup de choses sur beaucoup de choses. Très volatile tout cela vous allez me dire. Mais il faut bien comprendre que chacun dispose de son propre degré de conscience et beaucoup arrivent à faire beaucoup avec peu, c'est une question de talent.

Aujourd'hui, le SEO dans la tête d'un patron peut-être déterminé par son degré de conscience par rapport au SEO. Est-il conscient ou non de son inénarrable importance ? Cela nous fait déjà deux points de vues à la base.

Encore faut-il que maintenant, ce fameux chef d'entreprise puisse être conscient du prix que cela peut coûter. C'est comme les machines à laver, c'est celle qui affichera le plus de A++ qui pourra peut-être décrocher la lune. Encore faut-il que les prix soient concordants.

Jolie illustration, merci à : http://sir-jojo.com

Connaissance ou pas et à quel prix,

4 visages s'offrent à nous :

• Le dégoutté

• Le déçu

• L'averti

• Le convaincu

Le dégoutté, le plus dur à persuader :

Cette personne a beau faire tous les efforts possibles (ou ne pas les faire, cela existe), elle ne comprendra jamais rien au SEO, il est courant de devoir lui expliquer qu'un site soit comme un mur fabriqué de légos et que certains d'entre eux, au bon moment et en bonne quantité, peuvent faire la différence en terme SEO.

Mais s'il s'est fait avoir plus d'une fois sans aucun résultat, il sera très très méfiant.

Je ne sais pas si vous avez peut-être vu le 3ème Indiana Jones, au moment où Sean Connery propose à son fils de retourner à Berlin pour aller rechercher le bouquin qui contient les infos. Personne n'ira, mais Indi nous dit de le faire et de répondre présent à son paternel.

Vous pouvez appréhender le SEO de cette manière avec le patron dégoutté, à ces yeux, vous n'êtes qu'un charlatan pour ne pas dire une m****.

Le déçu, rien n'est perdu :

Un patron déçu du SEO n'aura rien constaté de ce qui peut être positif dans le SEO. C'est une manière de produire tellement "out bord" qu'il n'y a qu'un référenceur qui puisse rigoler à une blague de référenceur. Nous faisons parties d'une confrérie, on ne vous dit pas tout...

De toute façon, il n'a été déçu qu'une ou deux fois, avec de bons arguments et de la transparence vulgarisée, il est prêt à retenter le coup, pourquoi pas ?

Il estime aussi avoir trop donné pour les quelques poussières qu'il a accumulé, il a besoin d'être rassuré. Les bonnes références sont de bonne mise à ce moment là.

Après tout plutôt que rien faire, laissons encore la chance à un alchimiste moderne de pacotille pour alambiquer mon site et faire en sorte qu'il ressorte 1er, comme il me dit sans cesse. Mais cela veut dire quoi être premier ? sur quel mot ? À quelle date ? Pourquoi ? Pour qui ? Et Comment ?

Un bon prestataire, ne laisse pas sur la route son client, sans se poser avec lui les même questions aux bons moments.

L'averti, comme on dit, on sait ce qu'il dit :

Cette personne a un pied dans la secte des SEO jedi. Elle occupe une place au dessus de la moitié du genre et connaît très bien les enjeux. Mais il s'avère qu'il n'a pas été convaincu.

Suivez la tendance avec cet interlocuteur, parlez lui blog et social media. Dîtes lui que le web évolue et que le SEO aussi, on n'optimise pas un site de la même manière qu'il y a 10 ans ? Nous sommes d'accord.

Parlez lui authenticité, rien de mieux qu'un projet bien personnalisé qui puisse apporter une réponse satisfaisante à celui ou celle qui visitera le site. Expérience utilisateur et contenu roi devraient lui parler.

Le convaincu, y aller droit au but :

Ce type de chef d'entreprise convaincu et qui a connu une relative réussite chez un de vos concurrents peut prêter attention à vos arguments techniques. Il vous reprendra s'il perd le file, mais avec des exemples concrets, il connait la valeur de vos propos en terme SEO.

C'est à ce moment là qu'on prend vraiment plaisir à travailler, quand on a un interlocuteur, non seulement prêt à mettre un prix correspondant à un travail conséquent. Il sait qu'il ne s'agit pas de juste "appuyer sur un bouton" (bien que...quand il s'agit d'achat...).

Le budget consacré est à la hauteur de l'ambition de celui ou celle qui parie la mise, s'il s'avère que les fonds transitent dans des mains expertes et loyables, de l'or coulera, sur des améthystes entourées d'ambres et autre aigues-marines, bref, un peu de modération, nous nous éloignons du débat, mais pas vraiment finalement...

Le convaincu prend cinq minutes pour vous parler au téléphone, il n'a pas le temps, trop d'affaires et de gros filons à gérer et il est à cent kilomètres de vouloir savoir combien le site fait chaque minute.

Bien vu, vous êtes un référenceur hors pair !

Bref...

Le moins que l'ont puisse dire, chaque chef d'entreprise à sa vision du référencement, il y a autant de manière de le voir qu'il existe de dirigeants. Une chose à savoir, c'est que le SEO n'est jamais gratuit, c'est un savoir faire, comme le boulanger qui arrive à faire une vraie baguette tradition par trop cuite et croustillante avec les bons produits.

C'est toujours une bonne chose quand le chef d'entreprise rencontre l'ambassadeur de la boîte en qui il va faire confiance pour réaliser son SEO. Mais bon déjà à la base, le SEO ne devrait jamais se faire après coup, sinon, c'est que vous avez zappé la préface du "SEO pour les NULS".

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